« Quêter le sourire de Marie n’est pas un pieux enfantillage, c’est l’aspiration, dit le psaume 44, de ceux qui sont « les plus riches du peuple », « les plus riches », c’est-à-dire, dans l’ordre de la foi, ceux qui ont la maturité spirituelle la plus élevée et savent précisément reconnaître leur faiblesse et leur pauvreté devant Dieu…

 

               Rechercher le sourire de Marie n’est pas le fait d’un sentimentalisme dévot ou suranné, mais bien plutôt l’expression juste de la révélation vivante et profondément humaine qui nous lie à Celle que le Christ nous a donnée pour Mère. Désirer contempler ce sourire de la Vierge, ce n’est pas se laisser mener par une imagination incontrôlée. »