Le Christ, dans l’Évangile, à la page qui relate la résurrection de la fille de Jaïre, dit :
« Elle n’est pas morte, elle dort. »
« L’âme de la France n’est pas morte, elle dort »

C’est cette résurrection de l’âme de la France que notre prière va demander à Marie pour qu’elle obtienne de son Fils un semblable miracle.

Jésus vit notre détresse ; il ne peut rester insensible à notre détresse.

L’âme de la France tissée de foi d’espérance et de charité doit renaître.

– Marthe Robin assure :

« La France est la fille aînée de l’Église,
La France est la patrie privilégiée de la Sainte Vierge
La France est le berceau des saints »

 

– Jean-Paul II affirme :

«  Ce grand jubilé du baptême doit vous amener à dresse un bilan de l’histoire spirituelle de « l’âme française ». Vous vous souviendrez certes de temps obscurs, de bien des infidélités et des affrontements, conséquences du  éché mais vous vous souviendrez que toute traversée de l’épreuve est un appel pressant à la conversion et à la sainteté, afin de suivre jusqu’au bout le Christ, le Christ qui a livré sa vie pour le salut du monde. C’est quand la nuit nous enveloppe que nous devons penser à l’aube qui poindra, que nous devons croire que l’Église renaît chaque matin par ses saints. « Qui l’a une fois compris, disait Bernanos, est entré au cœur de la foi catholique, a senti tressaillir dans sa chair mortelle une espérance surhumaine. »

Il faut prier pour que la France retrouve son âme, pour que la France renaisse aux vertus théologales de la foi, de l’espérance de la charité, pour que son âme soit à l’image de celle de Marie.