«  L’homme meurt de soif dans ce siècle. Voyez-vous, on ne peut plus, on ne peut  plus vivre sans poésie, couleur ni amour. Si je rentre vivant de ce job nécessaire et ingrat (la guerre), il ne se posera pour moi qu’un problème : Que peut-on, que faut-il dire aux hommes ? Ils auraient tant besoin d’un Dieu.

 

 

             Je suis malade pour un temps inconnu (le temps à venir). Je suis triste pour ma génération qui est vide de toute substance humaine. Les hommes refusent d’être éveillés à une vie spirituelle quelconque. Comment faire pleuvoir sur eux quelque chose qui ressemble à du grégorien ? »